C’EST TOUJOURS L’OPPRESSEUR, NON L’OPPRIMÉ QUI DÉTERMINE LA FORME DE LUTTE. SI L’OPPRESSEUR UTILISE LA VIOLENCE, L’OPPRIMÉ N’AURA PAS D’AUTRE CHOIX QUE DE RÉPONDRE PAR LA VIOLENCE. DANS NOTRE CAS, CE N’ÉTAIT QU’UNE FORME DE LÉGITIME DÉFENSE