LA CULTURE ÉCOLOGIQUE NE PEUT PAS SE RÉDUIRE À UNE SÉRIE DE RÉPONSES URGENTES ET PARTIELLES AUX PROBLÈMES QUI SONT EN TRAIN D’APPARAÎTRE PAR RAPPORT À LA DÉGRADATION DE L’ENVIRONNEMENT, À L’ÉPUISEMENT DES RÉSERVES NATURELLES ET À LA POLLUTION. ELLE DEVRAIT ÊTRE UN REGARD DIFFÉRENT, UNE PENSÉE, UNE POLITIQUE, UN PROGRAMME ÉDUCATIF, UN STYLE DE VIE ET UNE SPIRITUALITÉ QUI CONSTITUERAIENT UNE RÉSISTANCE FACE À L’AVANCÉE DU PARADIGME TECHNOCRATIQUE. AUTREMENT, MÊME LES MEILLEURES INITIATIVES ÉCOLOGIQUES PEUVENT FINIR PAR S’ENFERMER DANS LA MÊME LOGIQUE GLOBALISÉE. CHERCHER SEULEMENT UN REMÈDE TECHNIQUE À CHAQUE PROBLÈME ENVIRONNEMENTAL QUI SURGIT, C’EST ISOLER DES CHOSES QUI SONT ENTRELACÉES DANS LA RÉALITÉ, ET C’EST SE CACHER LES VRAIES ET PLUS PROFONDES QUESTIONS DU SYSTÈME MONDIAL.