UNE FOIS ARRIVÉ SUR LES LIEUX DU COMBAT, JE M’APERÇUS QUE RIEN N’AUTORISAIT À PARLER DE «RÉVOLTE»; IL ÉTAIT IMPOSSIBLE D’OBSERVER LA MOINDRE RÉSISTANCE. ON AVAIT MONTÉ EN ÉPINGLE UN SIMPLE FAIT DIVERS: UN CHEF ZOULOU, SUIVI DE SA TRIBU, AVAIT REFUSÉ DE SE SOUMETTRE À UN NOUVEL IMPÔT ET AVAIT TRANSPERCÉ D’UNE SAGAIE LE PERCEPTEUR. DE TOUTE FAÇON, J’ÉTAIS DE CŒUR AVEC LES ZOULOUS. ON DEVINERA DONC MA JOIE LORSQU’ARRIVÉ AU QUARTIER GÉNÉRAL, J’APPRIS QUE NOUS AURIONS POUR TÂCHE PRINCIPALE DE SOIGNER LES ZOULOUS BLESSÉS. CAR, NOUS EXPLIQUA LE MÉDECIN– CHEF, LES BLANCS RÉPUGNAIENT À S’OCCUPER DES ZOULOUS. FAUTE DE SOINS, LES PLAIES S’ENVENIMAIENT ET LA SITUATION DEVENAIT CATASTROPHIQUE.